Dans la perspective d’une Exposition universelle en France en 2025, l’efficacité des mobilités – et en particulier celle entre l’aéroport CDG et le centre de Paris – sont un élément clé de la réussite de notre candidature.
Le modèle économique, tel qu’il est proposé par la société de projet, composé principalement du Groupe ADP et de SNCF Réseau, permet de mettre en œuvre un projet sans financement public basé sur la billetterie. La recette additionnelle envisagée pour sécuriser le modèle – sous forme d’une taxe de 1 euro sur les billets d’avions – n’aura pas de conséquences significatives sur l’attractivité de l’offre de transports aériens.
« Si l’idée de taxes nouvelles est discutable quand il s’agit de financer des dépenses de fonctionnements, des dérives budgétaires ou certains équipements publics, elle se justifie pleinement quand il est question d’investissements d’avenir directement liés à l’attractivité de notre pays (…) L’absence de liaison directe, à la fois sécurisée et rapide entre un aéroport, qui est le 6ème aéroport du monde, et le centre de la capitale n’est plus envisageable. Les conséquences sur l’activité économique vont s’amplifier au fur et à mesure que l’on retarde ce projet (…) A l’heure où les pays rivalisent chaque jour d’initiatives pour faire de leurs métropoles des portes d’entrée accueillantes, il est temps d’accélérer le projet de CDG Express » déclare le Député des Hauts-de-Seine et président d’EXPOFRANCE 2025.
Avec quel argent puisque même le grand Paris est obligé de faire un stop faute de financement, je rappelle que la France continue sa glissade vers les abimes de la régression. Ne brulons pas les étapes.