Afin de pouvoir expliciter le projet et de rétablir la vérité, notamment à la suite des propos tenus par le Premier ministre mercredi dernier lors des questions au Gouvernement au Sénat, Jean-Christophe FROMANTIN, les partenaires et experts associés au projet EXPOFRANCE2025, proposent aux commissions des finances et de l’économie de l’Assemblée nationale et du Sénat de les auditionner et de répondre aux questions des parlementaires.
« Nous souhaitons aujourd’hui expliciter le modèle économique du projet devant les parlementaires, face aux nombreuses contrevérités avancées par le Gouvernement et faute d’avoir pu défendre nos travaux auprès des acteurs politiques, alors que nous le demandions depuis plusieurs mois.
Les députés et les sénateurs ont largement contribué à la promotion de cette candidature, notamment dans le cadre d’un colloque qui s’était tenu au Sénat dès 2013, à la mission lancée par l’Assemblée nationale en 2015, ainsi qu’au rapport qui avait été adopté unanimement par les députés et qui a été à l’origine de l’engagement officiel de la candidature française par le Président de la République (…)
Il est parfaitement légitime que les parlementaires, qui se questionnent aujourd’hui sur les raisons de cet abandon, puissent apprécier ce modèle financier et juger par eux-mêmes de la pertinence ou non de cette décision du Gouvernement », déclare Jean-Christophe FROMANTIN.
L’enjeu est suffisamment important pour la France et ses territoires –près de 23 milliards de retombées économiques attendues et plus de 150 000 emplois nouveaux – pour que cette décision échappe à la représentation nationale.
« Les nombreuses réactions d’étonnement d’élus locaux et de parlementaires depuis ce week-end après l’annonce brutale du Gouvernement devraient faciliter cette demande », assure le président d’EXPOFRANCE 2025.
Le fromage se volatilise : triste pour les entrepreneurs voraces. Bonne nouvelle en revanche pour les citoyens et pour les contribuables. Un grand coup de chapeau au premier ministre pour une decision de bon sens.
Je partage votre point de vue. Nos politiques ont trop pris l habitude de dépenser l argent des autres sans assumer la responsabilité en cas d échec. Sage décision.