A l’approche des élections présidentielles, les candidats se bousculent côté Républicains comme côté Socialistes. De quoi la France a-t-elle réellement besoin dans les débats présidentiels ? Selon Jean-Christophe Fromantin, chaque candidat tentera de choquer au maximum l’opinion. Or, « ce n’est pas de chocs de proposition dont on a besoin », dit-il, mais plutôt d’une « intelligence collective » qui va réformer la France dans ses fondamentaux. Le député et maire de Neuilly-sur-Seine milite pour un regard nouveau dans les débats politiques et espère recruter 577 candidats « citoyens » pour les législatives de 2017.
Jean-Christophe Fromantin était l’invité de la matinale de Stéphane Soumier sur BFM Business.
Le vrai problème pour notre pays ce n’est ni le diagnostic ni les solutions qui hormis celles proposées dans un but démagogique ou par dogmatique sont connues.
Le vrai problème est comment ces propositions et donc ces projets de loi seront adoptées par la majorité parlementaire issue des présidentielles.
L’impasse vient du fait que les députés penseront putôt à leur réélection ou subiront des pressions des lobbies et dénatureront les réformes dont tout le monde l’admet doivent être votées dans les 6 premiers mois.
Seule une assemblée comportant un nombre suffisant de députés dont le métier n’est pas d’être … député, et élus pour 1 voire 2 mandats maximum pourra faire passer les lois pour lesquelles le nouveau président aura été élu.
Notre mouvement voit là toute sa raison d’être.
Je ne vois pas d’autre sénario possible!
Alors mobilisons nous dans chacune de nos circonscriptions. Même si nous n’avons pas le projet d’être élu. Pour amener un de nos concitoyen à l’être et l’entourer par la création d’une véritable équipe motivée, jusqu’aux élections et surtout après s’il est élu.
Imaginons-nous en juin 2017 devant la liste des candidats des législatives avec les candidats des différents partis. Imaginons-nous devant un candidat hors parti, non inscrit, venant de la société civile, pas plus intelligent que les autres mais …LIBRE.
La bonne voie est là!
Alors Osons.