COMMUNIQUE
Vice-président de l’UDI jusqu’au Congrès qui se tiendra le 15 novembre prochain, et au cours duquel un nouveau président sera désigné, Jean-Christophe FROMANTIN réitère sa demande d’éclaircissements sur :
– les dysfonctionnements du processus électoral qui ont empêché des milliers de militants de voter, y compris lui-même puisqu’il n’a pas reçu le matériel de vote pour le second tour
– les raisons qui ont amené l’huissier de Justice, mandaté par l’UDI, à évoquer, le 14 octobre, au cours d’une réunion interne, à propos d’un des candidats, des motifs d’alerte de TRACFIN (l’instance de traitement du renseignement et de l’action contre les circuits financiers clandestins), sur la base de l’Article L561-2 du code monétaire et financier.
« Nous devons assurer à l’ensemble des adhérents de l’UDI qui se mobilisent et aux élus qui s’engagent dans des mandats locaux ou nationaux la sincérité et la transparence de ce scrutin. Or l’absence de réponse de la Commission garante du bon déroulement de cette élection (la CNAT) au courrier que je lui ai adressé le 27 octobre sur les motifs d’une possible alerte de TRACFIN m’interpelle fortement (…) On ne pourra pas aborder sereinement l’avenir de l’UDI tant qu’une explication ne sera pas donnée compte tenu de la gravité de ce signalement et des conséquences qu’il pourrait avoir pour nous tous » déclare le Député des Hauts-de-Seine.
Jean-Christophe FROMANTIN émet les plus vives réserves quant à l’avenir de l’UDI s’il était avéré qu’un ou des candidats avaient utilisé, ou tenté d’utiliser, des procédés malhonnêtes pour participer à cette élection.
Il demande à la CNAT de se prononcer avant le Congrès sur la réalité ou non de ce risque.
Vous avez tout à fait raison.