Soyons le plus nombreux possible à nous engager pour prendre notre part de responsabilité au service de nos territoires et de la France ; faisons-le dans un esprit de service ; travaillons collectivement, bien au delà des partis politiques, sur l’avenir de notre pays ; passons d’une logique de posture à une dynamique de projet ; retrouvons espoir et courage pour qu’à nouveau la France rayonne par ses valeurs, ses talents et ses atouts.
« Français réconcilions-nous pour servir » disait Antoine de Saint-Exupéry en 1942. Cet appel à la réconciliation au service de la France devrait tous nous inspirer. Bien que, heureusement, nous ne soyons pas dans une situation aussi grave que celle de cette époque, la France traverse néanmoins une crise de fin de cycle qui s’est transformée en véritable crise de confiance. Nous sommes tous interpellés sur deux grands défis : celui de notre modèle de société et celui de notre projet pour la France. Depuis les années 2000, alors que les déficits publics repartaient à la hausse, la France n’a jamais véritablement pris la mesure des évolutions en cours ; elle n’a, par conséquence, entamé, aucune des grandes réformes de structure de nature à relancer son développement : L’activité industrielle a diminué, le chômage a progressé, les dépenses publiques ont explosé et la balance commerciale a enregistré des déficits indécents. La France ne s’est pas non plus véritablement interrogée sur sa place dans le monde, ni sur le sens de sa politique étrangère : L’immigration, la relation franco-allemande, la coopération avec l’Afrique et d’autres sujets tout aussi stratégiques souffrent de positions erratiques, parfois même antagonistes. La France doute ; elle a perdu confiance en elle. En s’abstenant aux élections ou en choisissant des partis extrémistes, les Français semblent majoritairement hésiter entre résignation et réaction. Quand ils sont près de 90% à remettre en cause la capacité des « politiques » à relever ces défis du XXIème siècle, ils constatent eux-mêmes l’atonie d’un système et le blocage de la société.
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Psychanalyste et coach de dirigeant, je partage votre analyse. Nous vivons une fin de cycle. Celui de l’Enarchie (qui débuta à la Révolution de 1789 et mis fin à la Monarchie) Mais qu’est-ce qui marquera l’entrée dans la nouvelle révolution? Que voulons nous faire du prochain cycle? Quel est votre positionnement par rapport à l’après?
J’ai 81 ans je suis peut-être trop vieux, mais je veux vous aider. Certes pas financièrement, retraité j’ai juste de quoi vivre dignement. Libéral avec Alain Madelin, j’ai ensuite milité au sein d’Alternative Libérale. Je vis actuellement dans le Var à Draguignan. Je vais voter FN parce que je ne veux pas d’Estrosi champion pour draguer à droite et à gauche. Mon réseau important, composé de jeunes intellectuels et de chefs d’entreprises, rassemble les forces libérales de France, si vous y croyez, je peux vous en faire profiter tout en m’impliquant. Très cordialement.